Nijika – Actrice de rêve

Nijika – Actrice de rêve

Résumé :

Je m’appelle Nijika Kohinata, j’ai 12 ans et je suis en sixième ! Mon père est à la tête d’une agence artistique et ma mère, qui est montée au ciel, était actrice. Mais le monde du spectacle ne m’intéresse pas ! Enfin… c’est ce que je croyais. Je vais bientôt comprendre combien le métier d’actrice est passionnant !
Source : Glénat

Avis principal par Maella

J’avais beaucoup d’appréhension avant de lire la série. Au final, je l’ai plutôt bien apprécié malgré de nombreuses facilités, et elle m’a parfois fait pensé à Skip Beat!.

Nijika est la fille de la célèbre actrice Saori Fujimiya et rêvait de faire comme sa mère. Mais après la mort de cette dernière, Nijika décide d’abandonner son rêve. Mais après quelques évènements, la jeune fille décide de devenir actrice et d’obtenir le prix du Prisme de Diamant, un prix attribué à la meilleure actrice de plus de 16 ans, que sa mère n’avait pu obtenir.

Le coup de la jeune fille qui possède un talent d’actrice plutôt impressionnant et qui arrive à monter les échelons assez rapidement, c’est du déjà vu. Nijika n’est pas vraiment un concentré d’originalité sur le fond ni sur la forme d’ailleurs, mais j’ai suivi les aventures de la jeune fille avec plaisir. On suit les déceptions, comme les nombreuses réussites (plus nombreuses que les déceptions d’ailleurs) de la jeune fille dans sa carrière d’actrice. Comme dans Kilari, Nijika trouve toujours une solution lorsqu’elle est dans le pétrin, et c’est le détail qui m’a toujours un peu dérangée dans les oeuvres d’An Nakahara. Je trouve que c’est assez facile, et du coup, on a l’impression que l’héroïne est toujours la meilleure et que jamais elle ne connaîtra de réels échecs.
Le ton de l’histoire est plutôt humoristique, surtout à cause des réactions enfantines de l’héroïne. Il se veut parfois émouvant lorsque Nijika évoque la mort de sa mère, mais comme d’habitude, les choses sont faites pour un public plutôt jeune, donc rien de vraiment larmoyant. La romance a aussi parfois sa place, pas forcément avec celui que l’on peut croire néanmoins. Mais la jeune fille voulant absolument réaliser son rêve, je pense que la romance ne sera présente qu’à travers les films ou séries qu’elle tourne.

Nijika est une héroïne optimiste et qui n’abandonne jamais. Elle fait parfois mature, mais son âge (12 ans, sur lequel elle ment d’ailleurs pour pouvoir obtenir le prix) revient souvent au galop et la voilà qui se comporte comme une gamine, comme aime bien si souvent le faire remarquer Toya. Ce dernier se comporte comme un frère pour la jeune fille, et sera souvent là pour l’aider lorsqu’elle en aura besoin. Nijika a évidemment une rivale : Ria. Ria est une fille talentueuse et sûre d’elle lorsqu’elle joue, le contraire de sa  personnalité hors caméra.

Côté graphisme, on retrouve toujours le côté « brillant » de l’auteure, avec les grands yeux, et le fond qui brille. Encore une fois, on nous sert de nombreux costumes tous aussi beaux les uns que les autres.

Fiche réalisée grâce au service de presse des éditions Glénat.

  • Scénario
  • Dessin
3.3

En conclusion

Une série sympathique à lire, mais dans ce registre là, ce n’est pas le meilleur.

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