Kyoushirou to Towa no Sora

Kyoushirou to Towa no Sora

Avis principal par Rudovikku

Résumé : Shiratori Kuu est une étudiante comme les autres, mais malgré qu’elle apprécie cette vie d’étudiante, il n’en reste pas moins qu’elle s’ennuie de cette routine. Chaque nuit elle fait toujours ce même rêve où elle rencontre son prince charmant. Un jour durant les préparations pour le festival de l’école, Kuu rencontre le prince de ses rêves, son nom, Ayanokoji Koshiro, qui s’avance vers elle et lui dit « Viens avec moi ». Source : Animeka

 

Avec un scénario prêt à faire pâlir n’importe quel réalisateur de téléréalité, c’était mal barré d’emblée pour cet anime. Mais il y a de bons côtés. Tout d’abord, graphiquement, les décors sont absolument sublimes, la palette de couleur choisie est d’une rare beauté et sur ce point il est très très réussi.
Maintenant que le point fort de l’anime est passé, venons en aux faits: cet anime souffre de quelque chose que je n’imaginais pas possible dans un anime, à savoir d’une héroïne aussi naïve qu’un petit faon sans sa maman et aussi profonde qu’un fleuve asséché. Pire, elle a un prénom qui laisse présager du pire (Kuu) car si on le mets au carré, ça fait KuuKuu quand même… d’autant plus que son prince vient la chercher sur un cheval blanc. Sans rire?
Passé les griefs sur la pire protagoniste de l’animation japonaise, voyons quand même le reste. Le scénario frôle le néant absolu, il est classé comme shonen pour une raison qui m’échappe. En fait c’est même pas un shojo non plus puisqu’on voit des filles dans une baignoires à un moment et que c’est clairement un instant ecchi pour faire plaisir aux garçons…

La seule chose positive que j’en retire est ces combats bien animés. Oui parce que dans une histoire de prince charmant, il y a des combats et avec des mechas s’il vous plaît. Passé la réalisation, la fin improbable arrive assez vite sans qu’on comprenne quel est l’intérêt d’avoir fait ça.

Il est marrant de constater que certains adorent cet animé pour tout ce que les autres détestent . Il est d’une simplicité enfantine à suivre, il n’y a rien à comprendre sinon que c’est un conte de fée fantastique avec des robots et des châteaux fort. J’ai comme l’impression d’avoir déjà vu ça quelque part… dix ans plus tôt. Ah ça y est, ça me revient! Escaflowne!! D’ailleurs ce dernier est à des années lumières de Kyoshiro to towa no sora.
Néanmoins, il est très beau, a une réalisation impeccable. Mais ça ne compense pas le fait qu’AUCUN personnage n’a de charisme. Pire, la protagoniste est la pire de toute l’histoire de l’animation japonaise.

 

  • Scénario
  • Dessin
2

En conclusion

Bref comme on me l’avait conseillé, je vous le déconseille c’est un sacrifice de 12x24minutes pas nécessaire.

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